Javier Cercas est né en 1962 à Cáceres. Il enseigne la littérature à l’université de Gérone, et est l’auteur de romans, de recueils, de chroniques et de récits. Ses romans, traduits dans une trentaine de langues, ont tous connu un large succès international. Il a publié récemment chez Actes Sud Les Lois de la frontière (2014, prix Méditerranée étranger), L’Imposteur (2015), Le Mobile (2016) et Le Point aveugle (2016).
]]>Retrouvez le livre "Les trapézistes et le rat" d'Alain Fleischer
]]>Retrouve le livre La mort en été de Yukio Mishima
]]>L'histoire d'un garçon et de ses amours avec trois charmantes jeunes filles: Choléra, "quinze ans, une brune au quinzième degré"; Cornue, "dix-sept ans et son ventre neuf mois de plus"; Alice, "dix-huit ans et quelque chose du bouc et de la puce". D'une cocasserie irrésistible.
]]>A Port-au-Prince, La Niña Estrellita, ravissante mulâtresse de vingt-six ans et prostituée, est la vedette du Sensation Bar. Un jour, elle y rencontre El Caucho, magnifique géant courageux et droit, mulâtre comme elle. C'est un mécanicien syndiqué et progressiste. El Caucho et La Niña deviennent amoureux l'un de l'autre au premier regard. Cet amour révélera La Niña à elle-même, ainsi que le mystère de ces deux êtres, celui de leur enfance commune à Cuba. En effet, ils sont tous deux originaires du même petit village de cette île. Ils décident de vivre ensemble... l'espace d'un cillement... et cette histoire, à laquelle s'entrelacent plusieurs thèmes, s'achève sur la fuite de La Niña, éperdue, terrorisée par la responsabilité nouvelle et l'ignorance de sa propre vérité.
A travers le prisme coloré de cette aventure individuelle, le grand écrivain haïtien Jacques Stephen Alexis évoque aussi les drames de toute la Caraïbe.
Retrouvez le livre "L'espace d'un cillement" de Jacques-Stephen Alexis
]]>Retrouvez le livre "L'alcool et la nostalgie" de Mathias Enard
]]>Voir le livre " Nouvelles et Textes pour rien" de Samuel Beckett
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Retrouvez le livre "L'instant de ma mort" de Maurice Blanchot
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Ce récit baroque et burlesque est aussi un pamphlet politique impitoyable. Elu en 2008 meilleur Booker Prize de l'histoire du prestigieux prix anglais, ce roman paru en 1980 a profondément influencé la littérature anglo-saxonne des trente dernières années.
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Cent Ans de solitude compte parmi les chefs d'oeuvre de la littérature mondiale du XXe siècle. L'auteur a obtenu le prix Nobel de littérature en 1982.
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Quand l'Histoire bande ses ressorts, comme elle fit, pratiquement sans un moment de répit, de 1929 à 1939, elle dispose sur l'ouïe intérieure de la même agressivité monitrice qu'a sur l'oreille, au bord de la mer, la marée montante dont je distingue si bien la nuit à Sion, du fond de mon lit, et en l'absence de toute notion d'heure, la rumeur spécifique d'alarme, pareille au léger bourdonnement de la fièvre qui s'installe. L'anglais dit qu'elle est alors on the move. C'est cette remise en route de l'Histoire, aussi imperceptible, aussi saisissante dans ses commencements que le premier tressaillement d'une coque qui glisse à la mer, qui m'occupait l'esprit quand j'ai projeté le livre. J'aurais voulu qu'il ait la majesté paresseuse du premier grondement lointain de l'orage, qui n'a aucun besoin de hausser le ton pour s'imposer, préparé qu' il est par une longue torpeur imperçue."
Julien Gracq
Voir le livre Le rivage des Syrtes
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À une époque indéterminée, un voyageur parcourt un monde mystérieux où, dans des domaines protégés par de vastes enceintes, les hommes cultivent des statues... Inlassablement, les jardiniers plantent, soignent et transplantent les pierres. S'ils acceptent de guider l'explorateur dans leur étrange contrée, lui disent-ils tout des règles de leur société ? À la fois récit d'aventure, conte initiatique et rêve éveillé, Les jardins statuaires fascine par son ampleur et sa puissance évocatrice. Tapuscrit égaré, malchances et incendies ont concouru pendant trente ans à l'occultation de ce roman sans équivalent dans les lettres françaises.
Voir le livre Les jardins statuaires
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Les personnages, aux noms farfelus, sont extrêmement âgés, mais jeunes parfois d'apparence. Ils ont échappé à une sorte d'apocalypse, en tout cas un changement de régime. Beaucoup ont séjourné dans des camps de redressement, et se plaignent, au fond, du retour au capitalisme. Ils ont souffert du totalitarisme, mais sont désormais dans une société où sous une autre forme l'humanité a disparu. Les rapports amicaux et amoureux sont clandestins et impossibles. Les rapports familiaux inexistants. La survie est presque impossible matériellement : ils vivent dans des grottes, sous des yourtes, dans des immeubles dévastés. Certains sont artistes, d'autres ont des responsabilités politiques. Mais tout va à vau l'eau. Le personnage central, Will Scheidmann est un écrivain qui, dans ce contexte de post-mutation de régime apparaît comme «réactionnaire», mais qui en réalité est le seul qui «réfléchisse» sur l'Histoire. Sa mère, accompagnée de vieilles femmes, veut exterminer : elle tient au respect des formes du nouveau régime. Mais l'exécution sans doute n'aura pas lieu.
L'ensemble est d'une grande tristesse, mais aussi d'une grande sensualité poétique, envoûtante. C'est brillant, intelligent : il y a d'admirables réflexions sur la littérature, ses illusions, ses limites, sa force aussi. Le livre est la description d'un monde où le temps, l'espace, l'économie, la littérature, les rapports psychologiques, la famille, la politique, les langues sont autres, «étranges». Il y a dans ce livre, en dehors des scènes très violentes, des moments de contemplation, de sensualité, de tendresse, qui l'ouvrent à des sensibilités plus diverses. Il tourne labyrinthiquement autour d'une obsession qui est, disons, l'apocalypse conçue par les hommes eux-mêmes, l'idée même de ce qui est «dernier».
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Entre innocence et perversité, entre cauchemar et merveilleux, les récits des Boutiques de cannelle se situent dans un «treizième mois, postiche et superfétatoire, en marge du temps réel, sur ses voies de garage».
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Ils relatent avec la plus déconcertante désinvolture le mal d'aimer et le mal être, en entremêlant toutes sortes de références littéraires et culturelles. Ils se jouent des grands mythes et des oeuvres célèbres en faisant alterner les jeux de la parodie, les bouffonneries sacrilèges, le récit poétique.
Ici, Hamlet pousse un dernier soupir en s'écriant : "Quel grand artiste meurt avec moi !" là, Salomé débite des propos délirants à une assistance qui se demande à quelle heure on la couche.
A tout moment, le récit emprunte des voies buissonnières oú l'écriture s'invente dans l'exultation.
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«Le biographe n'a pas à se préoccuper d'être vrai ; il doit créer dans un chaos de traits humains. Leibniz dit que pour faire le monde, Dieu a choisi le meilleur parmi les possibles. Le biographe, comme une divinité inférieure, sait choisir parmi les possibles humains, celui qui est unique. Il ne doit pas plus se tromper sur l'art que Dieu ne s'est trompé sur la bonté. Il est nécessaire que leur instinct à tous deux soit infaillible.
De patients démiurges ont assemblé pour le biographe des idées, des mouvements de physionomie, des événements. Leur oeuvre se trouve dans les chroniques, les mémoires, les correspondances et les scolies. Au milieu de cette grossière réunion le biographe trie de quoi composer une forme qui ne ressemble à aucune autre. Il n'est pas utile qu'elle soit pareille à celle qui fut créée jadis par un dieu supérieur, pourvu qu'elle soit unique, comme toute autre création.»
]]>A travers une succession d'épisodes comiques ou tragiques et une nuée de personnages hauts en couleurs, Annie Dillard raconte le destin de la petite communauté de Whatcom et recrée l'épopée héroïque de ces pionniers. Elle suit plus particulièrement trois hommes que tout oppose : Clare Fishburn, jeune et ambitieux ; John Ireland, qui voit avec désespoir les socialistes expulser les immigrés chinois ; et Beal Obenchain, un misanthrope qui vit dans une souche de cèdre.
De splendides descriptions de la côte sauvage et des forêts environnantes alternent avec des scènes d'actions rondement menées et des dialogues extrêmement vivants. Ermites, chercheurs d'or, explorateurs, marins, entrepreneurs, colons, bûcherons, pauvres et riches peuplent ce roman foisonnant et composent une grande fresque classique qui rappelle la comédie humaine tout en évoquant de manière saisissante le problème des Indiens, celui de l'immigration et la lente destruction d'une région mise en coupe réglée par les capitaines d'industrie de l'époque.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Brice Matthieussent
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Une fois j'allais chez ma mère pour y passer quelques nuits. En arrivant sur le seuil, j'ai jeté un coup d'oeil et je l'ai vue, assise sur le canapé, en train d'embrasser un homme. C'était l'été. La porte était ouverte. La télé était allumée. Voilà une des choses que j'ai vues."
Traduit de l'anglais par Gabrielle Rolin
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C'est ainsi qu'il va tomber sur des lettres laissées par sa grand-mère, une jeune femme des années 1860 qui parcourt l'ouest sauvage à la suite de son prospecteur de mari - et dont la vie, passée au milieu de paysages grandioses, ne sera qu'une suite (plutôt mouvementée) de dégringolades et de désillusions.
Publié en 1971, couronné par le prix Pulitzer, angle d'équilibre a été rangé par le New York Times dans sa sélection des "100 meilleurs romans du siècle".
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Maurice-Edgar Coindreau et révisé par François Pitavy.
]]>Le portrait de Dalva, femme mitraillée par l'histoire, perdue au coeur d'un pays dont elle ne sait plus les frontières, est sensible et pénétrant. Harrison renoue ici avec une veine poétique et presque lyrique pour se replonger dans les racines d'une terre dont toute l'histoire n'a pas encore été dite." Bernard Géniès, le nouvel observateur, 2 mars 1989
]]>Quand ce recueil a paru aux États-Unis, Brautigan avait à peine plus de trente-cinq ans, parvenu " à mi-chemin ", au lieu et temps des bilans, peut-être, et des nostalgies. Aucun autre livre de Brautigan n'est aussi chargé du lyrisme des souvenirs d'enfance, ni aussi marqué de cette sereine fraîcheur, exempte de toute complaisance, dont il est toujours tant loué.
Ces soixante-deux courts textes, qu'on hésite à appeler nouvelles, sont autant de petites victoires sur les ruses du sort et du temps, et sur soi-même, une succession d'instants privilégiés où l'étrange impassibilité du conteur réalise l'alliance tranquille du malheur et de la blague, jusqu'à ce que telle révélation finale, en forme d'envoi, dissipe l'apparente légèreté du rien, une manière de réconciliation, enfin, avec ses propres amertumes, avec une société américaine en échec, avec l'absurde et le dérisoire de l'univers.
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Cormac McCarthy - Points - 1998
]]>Avec Dernier rapport sur les miracles à Little No Horse et La Chorale des maîtres bouchers, Louise Erdrich a imposé son regard insolite et son univers poétique parmi les plus riches talents de la littérature américaine. Une oeuvre qui ne cesse de se renouveler et de surprendre.
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Antigone aussitôt se met en chemin. non loin se tient Clios, ou le bandit, dont la cruauté est célèbre à travers l'Attique. ainsi débute l'errance d'un demi-dieu maudit, de sa fille, de leur compagnon. Sans deviner quels sentiments les unissent -ignorant qu'ils progressent vers Colone où Oedipe entrera dans la légende- ces trois-là sont peu à peu livrés au plus énigmatique des destins.
Roman d'aventures ? Oui, tant il est vrai qu'Henry Bauchau nous guide dans la nuit des temps et, au plus près de ses personnages, nous fait partager leurs épreuves.
Mais le narrateur aborde bientôt d'insoupçonnés rivages, convoque les arts et les songes, la danse et la sculpture, la folie et la tendresse, le délire et le chant. Et c'est au bord des abîmes que sa méditation trouve ses plus profondes résonances. Écrit dans la maturité, gravé dans la plénitude d'une interrogation universelle, ce roman marque le retour à la prose du poète Henry Bauchau. Un retour qui force notre admiration.
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Mattis le sent obscurément, tel le fait que l'on a donné son nom et celui de sa soeur Hege aux trembles morts émergeant des sapins proches de leur maison, ou encore que les gens l'appellent ahuri, quand ils ne se doutent pas qu'il les entend, et rechignent à lui confier un travail quelconque. Lui non plus n'aime pas en demander. Il sait trop quel désarroi le saisit presque aussitôt. Mattis préfère rêver dans la forêt, écrire dans la boue un message d'amitié à un oiseau.
Tout lui est signe et présage : cette bécasse qui survole son logis et qu'un chasseur tue par sa faute, ce tremble que foudroie l'orage et qui représente lui ou Hege... que Hege meure ou cesse de s'occuper de Mattis, comment vivrait-il ? L'idée chemine dans son esprit et l'obsède quand, devenu passeur sur le lac, il amène chez eux Jörgen le bûcheron. Petite âme à demi éveillée, coeur d'oiseau qui se débat dans les brumes où s'enveloppe pour lui le monde réel, Mattis en vient à forger son propre destin et c'est ce qui rend si poignante cette histoire d'un simple où Tarjei Vesaas transcrit l'inexprimable enfoui au fond des êtres.
]]>Dominique Pinon est comédien. Il vit à Paris.
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Samuel Pericaud est libraire au rayon sciences humaines d'Ombres Blanches.
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Charles-Henri Lavielle est le cofondateur des éditions Anacharsis. Il vit et travaille à Toulouse.
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L'enfant a grandi dans le secret de l'amour exclusif de son frère, Antonio, initiateur du plaisir et du savoir, par lequel le monde s'est ouvert à lui. L'enfant se découvre un passé, il déchiffre autour de lui sa propre histoire. Il ne vit que par l'amour qu'il porte à son frère et par la haine qu'il voue à sa mère, les deux faces d'un même sentiment. Sa mère meurt, son frère le quitte. Il s'expatrie. Il ne lui reste qu'à écrire son histoire en attendant le retour de son frère dans la maison de leur enfance.
Par delà l'anecdote biographique et le tableau familial, le lecteur découvre l'image inquiétante et symbolique de l'Espagne d'aujourd'hui. Espagnol exilé, l'auteur nous offre avec L'agneau carnivore son premier roman écrit en français. Traducteur-adaptateur de Giraudoux, auteur dramatique, il a obtenu deux fois le Prix Lope de Vega avant son exil. Il a été joué à Paris, dans divers cafés théâtres.
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Réel et fiction ne font qu'un dans la lettre désespérée que Kafka adresse à son père. Il tente, en vain, de comprendre leur relation qui mêle admiration et répulsion, peur et amour, respect et mépris.
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Bruno RUIZ est poète et auteur-compositeur-interprète. Il vit à Toulouse.
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Pascale Marange vit et travaille à Toulouse. Petits papiers, son agence de graphisme, réalise (entre autres) les programmes des rencontres d'Ombres Blanches.
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Des personnages ont surgi au fil de l'écriture, ont pris d'assaut les poèmes. Enfants vêtus d'écorce. Mères faites du même bois que la table. Ils ont poussé les murs, disloqué les maisons, fraternisé avec les arbres, partagé leurs peurs et leurs jeux.
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En une langue sensuelle et luxuriante, Bleu éperdument raconte l’abîme intérieur de quelques femmes de Los Angeles à l’approche d’un millénaire « dépourvu d’illusions ».
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Bruno RUIZ est poète et auteur-compositeur-interprète. Il vit à Toulouse.
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Guillaume Poix est comédien et vit à Paris.
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Le nageur fait résonner en nous avec pudeur une musique venue d'un temps oú, enfants, nous avions nous aussi le bonheur de ne pas comprendre le monde autour de nous.
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Serge RENKO est acteur et vit à Paris.
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Catherine Allégret est comédienne.
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C'est aussi un savoir que l'art, désormais, ne saurait éluder.
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Mais qui fut le commanditaire de cette oeuvre ? A quelles conditions et à quelles fins fut-elle peinte par François-Elie Corentin, le Tiepolo de la Terreur ? Mêlant histoire et fiction, Michon fait apparaître, avec la puissance d'évocation qu'on lui connaît, les personnages de cette « cène révolutionnaire », selon l'expression de Michelet qui, à son tour,devient l'un des protagonistes du drame.
Grand Prix du roman de l'Académie française 2009
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Laurent MAUVIGNIER est écrivain et vit à Toulouse. Dernier titre paru : Retour à Berratham, pièce de théâtre écrite pour le Ballet Preljocaj.
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Clément HERVIEU LÉGER est acteur et metteur en scène. Il est sociétaire de la Comédie Française.
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Ce livre-enquête nous projette dans le Japon de la fin du XVIe et du début du XVIIe siècle. A cette époque, la cérémonie du thé était un acte grave, un rituel qui témoignait d'un engagement redoutable, empreint d'exigences éthiques et politiques, prétexte parfois à des négociations secrètes.
Le Maître de thé est donc tout naturellement un roman d'initiation, de méditation, lyrique et sensuel à la fois. A travers la figure historique de Rikyu, Yasushi Inoué (1907-1991) dresse le portrait d'une génération hantée par la mort. Étrange de penser qu'il a écrit là son dernier récit et sans doute son chef-d'oeuvre, publié en 1991, l'année même de sa disparition !
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Nicolas Vivès est libraire au rayon littérature d'Ombres Blanches.
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Boris Terral est comédien et vit à Paris.
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Le Dictionnaire Khazar - Milorad Pavic
p.27-p.29
]]>Le Dieu manchot - José Saramago
p.38-p.40
]]>Jacques Roubert est poète et galeriste. Il vit à Toulouse.
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Serge Pey est poète et vit à Toulouse.
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Chap. Poupette, p.70 à 73
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chap. Hermiston, p 20 à 22
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Christian Gailly est né en 1943 et mort en 2013. Tour à tour saxophoniste de jazz, psychanalyste puis écrivain, il a créé une œuvre à l'image de sa vie : une exploration des ressorts de l'âme humaine, composée comme des thèmes musicaux. Tous ses romans sont édités aux éditions de Minuit. Be bop est son sixième roman.
Hélène Cardona est chargée des activités culturelles à Ombres Blanches.
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Yves Charnet est écrivain et professeur. Il vit à Toulouse.
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Le titre est tiré d'un psaume qui rappelle la captivité des Juifs à Babylone. Ce thème de la captivité, de la privation de liberté, littérale ou métaphorique, est central dans le roman.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Maurice-Edgar Coindreau et révisé par François Pitavy.
p. 193 à 195
]]>Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Hortense Chabrier et Sylviane Rué
p. 11 - 13
]]>Francis Ricard est poète. Il vit à Toulouse.
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Joël Raynal est libraire au rayon poches d'Ombres Blanches.
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Mick et bien d'autres personnages s'entrecroisent dans ce roman qui emprunte ses décors au Sud des Etats-Unis où vécut Carson McCullers dans l'immédiat avant-guerre. Elle avait vingt-deux ans quand elle publia ce premier livre, qui est sans doute son chef-d'oeuvre.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marie-Madeleine Fayet
p.152 à 154
]]>Traduit de l'anglais par Sophie Mayoux
p. 27 à 29
]]>Serge Roué est le directeur du Marathon des Mots.
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Pierre Santini est comédien et metteur en scène. Il vit à Paris.
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Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Nicolas Richard
p.24 à 26
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Traduit de l'anglais par Marie-Claude Peugeot
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Philippe Berthaut est poète et vit à Toulouse.
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Jacques Bonnaffé est comédien et vit à Paris.
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Traduit de l'anglais (États-Unis) par Pierre FURLAN
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Mais il est trop tard : l'homme postmoderne qui voulait se suffire à lui-même n'a plus accès à la réalité qui le frappe alors de plein fouet.
Traduit de l'anglais par Marianne Véron
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Magali Lebon est libraire au rayon nature d'Ombres Blanches.
]]>Daniel Mesguich est comédien et vit à Paris.
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Thomas Rouill est libraire au rayon littérature d'Ombres Blanches.
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C’est l’histoire des abîmes vertigineux de l’espace et du temps et de ce qu’ils abritent, de l’étrange et de l’occulte, là, au coin de la rue, au détour d’un rayonnage de bibliothèque ou sur une case d’échiquier...
C’est l’histoire de ce qui ne peut être vu et que l’on voit quand même, de ce qui ne peut être dit et qu’il nous faut dire, malgré tout...
C’est l’histoire des Perséïdes, neuf récits se répondant les uns les autres pour tisser l’ébauche d’un paysage indicible, un livre à l’ombre des grands maîtres tutélaires de l’œuvre wilsonienne : Jorge Luis Borges, Howard Phillips Lovecraft et Clifford D. Simak en tête. Peut-être le livre le plus personnel de Robert Charles Wilson.
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Yves Le Pestipon vit à Toulouse. Il est poète et enseignant au lycée Fermat.
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Nathalie Vinot est comédienne. Elle vit à Toulouse.
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Ce livre de Philippe Jaccottet peut servir d'introduction à son œuvre poétique et littéraire. Cet ensemble de textes sur la campagne contient aussi de très belles méditations sur le travail du poète, sur sa condition d'homme démuni et incertain, privé de tout recours à une foi ou à une idéologie rassurantes. La perception et le sentiment de la nature sont d'une extrême délicatesse et d'une rare ferveur. À travers la description, Jaccottet fait le point sur sa vie de poète, sur sa conception de la poésie.
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L’île polaire de Kolgouev est le cœur du récit.C’est en lui donnant une dimension imaginaire que Golovanov parvient à décrire avec le plus de fidélité cet espace géographique et mental.Il raconte ses expéditions en mêlant à ses impressions, ses propres sensations, des légendes, des contes, des dialogues, composant ainsi une étrange et puissante partition symphonique qui fait de son livre une sorte d’épopée contemporaine sur les cendres des temps mythiques.Golovanov ne se limite pas à « chanter l’espace » et l’antique horde nomade du Grand Nord – des Nénets en particulier –, il montre les désastres infligés par la civilisation industrielle et le communisme à cette terre et à ses hommes, et la déréliction dans laquelle ils se trouvent aujourd’hui.Se faire une opinion sur l’originalité de cette prose, seuls peuvent le tenter ceux qui décident, aux côtés de l’auteur, d’entreprendre le voyage.
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Nathalie Nauzes est comédienne et metteuse en scène. Elle vit et travaille à Toulouse.
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Jean-Yves Laurichesse vit à Toulouse. Il est écrivain et professeur à l’Université Toulouse-Jean Jaurès.
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Cahier d'un retour au pays natal
]]>Pascal Dessaint est romancier et vit à Toulouse. Son dernier livre paru est Le chemin s'arrêtera là, publié aux éditions Rivages.
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Aliénor Mauvignier est libraire au rayon littérature d'Ombres Blanches.
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Traduit de l'espagnol (Argentine) par Laure Bataillon.
Juan José Saer - Le Tripode, 2014
p.25 à 28
]]>Karen Blixen - Folio - Gallimard, 2006
p.15 à 16
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Michel Leiris produit ici un ouvrage autobiographique, critique de la période des années 30, riche en bouleversements.
Michel Leiris - Folio - Gallimard, 1973
(p.23 à 25)
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René Louis Des forêts - L'imaginaire - Gallimard, 1978
(p.7-11)
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Michaux, Henri - Gallimard, Poésie, 1987.
(p.123)
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Traduction de Léon Bocquet et présentation de Gilles Lapouge.
Voyage avec un âne dans les Cévennes
Stevenson, Robert Louis, Flammarion, 2013
(p.116)
]]>Traduction de Henriette Guex-Rolle.
Melville, Herman, Flammarion, 2012
(p.539)
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Deville, Patrick, Points, 2013
(p.83)
]]>Cette histoire fut adaptée au cinéma en 1979 par Francis Ford Coppola, sous le nom d'Apocalypse now.
Traduit de l'anglais par Catherine Pappo-Musard
Conrad, Joseph, Le Livre de poche Biblio, 2012
(p.36)
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À la même époque Cendrars écrit plusieurs textes et poèmes sur le thème du voyage, comme une récolte suite à ces années de voyage entre la Russie, la France et les Etats-Unis.
La prose du Transsibérien évoque le voyage d'un jeune garçon de 16 ans à bord du transsibérien de Moscou à Kharbine. A ses côtés Jeanne...dont il est épris.
Ce poème fait partie du recueil "Du monde entier au coeur du monde - Poésies complètes" dont la première édition parut chez Denoël en 1947.
Paul Morand préfaça l'édition en 1967.
La prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de FranceCendrars, Blaise, Gallimard, 2014
(p.50 à 55)
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Ce récit est devenu l'un des classiques de la littérature de voyage. Publié pour la première fois en 1963 à compte d'auteur, il édité par René Julliard en 1964, puis à la Découverte en 1985.
L'usage du mondeBouvier, Nicolas, Petite bibliothèque Payot/Voyageurs, 2001
(p.360 à 362)
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Christian Garcin emporte le lecteur sur les chemins de Mongolie d'Eugenio Tramonti, le personnage du Vol du pigeon voyageur et de La jubilation des hasards. Mais pour le retrouver la route ne sera pas de tout repos et il faudra compter avec des personnages haut en couleur, humains comme animaux.
Le voyage aux côtés de Christian Garcin revêt bien des surprises ; il faut laisser son esprit ouvert, même aux chamanes les plus étranges.
La piste mongoleGarcin, Christian, Points, 2014
(p.43 à 45)
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Construire un feuLondon, Jack, Actes sud, 1995
Traduit de l'américain par Christine Le Boeuf
(p.17 à 20)
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